Psychologie, éducation & enseignement spécialisé
(Site créé et animé par Daniel Calin)

Aides

  •  
par Daniel Calin

Problèmes d’affichage

Je teste régulièrement mon site sur les navigateurs les plus répandus, dans leurs versions les plus récentes : Firefox, Internet Explorer, Safari, Opera, Google Chrome, ainsi que sur des navigateurs plus confidentiels comme Maxthon, GreenBrowser, K-Meleon, Avant Bowser, SRWare Iron, Lunascape, Arora. Je ne teste pas mon site avec les navigateurs qui ne disposent pas d’une version française.

Tous les navigateurs, dans leur dernière version, affichent convenablement mon site, de façon précise et homogène d’un navigateur à l’autre. Seule la taille des affichages varie assez sensiblement d’un navigateur à l’autre ou d’un OS à l’autre, mais vous pouvez aisément la régler à votre convenance avec la plupart des navigateurs en zoomant sur la page concernée : sous Windows™, maintenez la touche “Ctrl” enfoncée et faites rouler la molette de votre souris. Vous pouvez également utiliser les menus déroulants : Affichage / Zoom.

Cependant, même dans leurs versions les plus récentes, ces navigateurs ne respectent pas toutes les normes internationales des langages que j’utilise (xHTML et CSS). Cela induit des imperfections, généralement mineures, dans l’affichage de certains éléments typographiques, variables d’un navigateur à l’autre. J’invite mes visiteurs à me signaler au besoin d’éventuels dysfonctionnements plus gênants.

Ce site est généralement très mal affiché par les versions trop anciennes de tous les navigateurs. Je n’envisage pas de l’adapter à ces navigateurs vieillis. J’invite mes visiteurs à mettre à jour leurs navigateurs (les navigateurs récents disposent en général de procédures de mise à jour automatique). C’est gratuit et les navigateurs récents restent relativement peu gourmands en ressources. Pour les utilisateurs de machines peu puissantes, GreenBrowser, qui fonctionne parfaitement, est de très loin le navigateur le plus léger disponible en langue française (3 Mo, soit dix fois moins lourd que la moyenne des autres).

Les principaux navigateurs :

  • Firefox, le navigateur phare du monde des logiciels libres (versions disponibles pour Windows, Linux, Mac OS). C’est mon navigateur habituel.
  • Maxthon 5 (Windows XP ou supérieur). Dispose d’un mode “Lecture” très impressionnant, qui transforme la plupart des sites en pages de texte traditionnelles, en ne conservant que les illustrations utiles, avec réglage de la taille des caractères et de la largeur de la page. Un mode “Nuit” permet de lire des caractères clairs sur fond foncé.
  • Internet Explorer 11 (Windows 7 et supérieur), Internet Explorer 10 (Windows 7 et supérieur), Internet Explorer 9 (Windows 7 ou Vista), Internet Explorer 8 (Windows Vista, XP ou Serveur), Internet Explorer 7 (Windows XP) ou Internet Explorer 6 (Windows 98, Windows ME, Windows 2000, Windows NT)
  • Safari (Windows, Mac OS)
  • Opera (Windows, Mac OS et Linux)
  • K-Meleon (Windows, logiciel libre)
  • Avant Bowser (Windows toutes versions)
  • Lunascape (Windows ; site en anglais, mais le navigateur est multilingue)
  • SRWare Iron (Windows XP ou supérieur, identique à Chrome, mais en logiciel libre... et débarrassé de ses espions)
  • GreenBrowser (Windows XP ou supérieur ; site en anglais, mais le navigateur est multilingue)
  • Arora (Windows, Mac OS, Linux, BSD... ; site en anglais, mais le navigateur est multilingue ; télécharger le fichier “Installer.exe”)
  • Google Chrome (Windows XP ou supérieur, un navigateur développé par Google... pour Google, auquel il transmet toutes les informations concernant votre navigation – à éviter)

Voir aussi :


Smartphones

Mon site, fondé en 1999, n’a évidemment pas été conçu pour les “téléphones” mobiles actuels, ces petits appareils merveilleusement polyvalents, que nombre d’entre nous utilisent de plus en plus pour naviguer sur le Web.

Depuis 2017, les smartphones, globalement, ont dépassé les ordinateurs comme portes d’entrée sur Internet. Pour ce qui est de mon site, en février 2019, 35 % de mes visiteurs utilisaient un smartphone. Pour me conformer aux usages actuels, il pourrait sembler souhaitable que je développe une version “mobile” de mon site, mais c’est un gros travail, pour lequel je ne suis guère qualifié. Jusqu’à nouvel ordre, je n’envisage pas de m’y atteler.

Même sans version dédiée, mon site est lisible sur les smartphones à condition de les tenir en position horizontale, après avoir, si ce n’est déjà fait, activé la rotation automatique de l’écran. Cette lisibilité est d’ailleurs facilitée par l’augmentation progressive de la taille moyenne des écrans des smartphones, qui dépasse désormais les 5 pouces de diagonale. Sur des écrans de cette taille tenus à l’horizontale, toutes les pages de mon site sont bien lisibles et la navigation d’une page à l’autre est aisée.


Note aux webmestres

Mon site offre, entre autres, une importante base de textes législatifs et réglementaires. Il vous est bien évidemment loisible d’introduire dans vos pages des liens directs vers l’un ou l’autre de ces textes, en fonction de vos besoins. De tels liens sont d’ailleurs fort nombreux, y compris sur des sites institutionnels - certains textes officiels n’étant d’ailleurs présents sur le Web que sur mon site.

Il existe une autre possibilité, beaucoup moins utilisée, de faire références aux textes mis en ligne sur mon site : c’est d’établir des liens directs vers tel titre ou tel article d’un de ces textes. Le code de la plupart des textes présents sur mon site inclut en effet, pour chaque titre et/ou numéro d’article, des balises du type :

<a name="XXX"></a>

où “XXX” est le nom de code que j’ai attribué au titre ou à l’article qui vous intéresse. Vous pouvez aisément trouver ce nom en demandant à votre navigateur d’afficher le code source de la page concernée.

En général, les articles sont codés “aX”, où “X” est le numéro de l’article. Par exemple, le lien :

<a href="http://dcalin.fr/textoff/loi_1882_vo.html#a16">Article 16</a>

conduira directement votre visiteur sur l’article 16 de la version originale de la loi du 28 mars 1882.

Les titres sont en général codés avec les nombres et/ou lettres qui les désignent, avec un point entre chaque élément. Par exemple, le lien :

<a href="http://dcalin.fr/textoff/itep_2007.html#III.1.4">Titre III.1.4</a>

conduira directement votre visiteur sur le sous-titre L’accueil temporaire de la circulaire du 14 mai 2007 sur les ITEP.

Les articles des codes publiés sur mon site, Code de l’éducation ou Code de l’action sociale et des familles, sont toujours codés par leur numéro dans le code (sans leur lettre). Par exemple, l’article “L. 111-1” est codé “111-1”. Attention : sur mon site, les parties législative et réglementaire de chaque code constituant des pages différentes, il vous faut veiller à appeler la bonne page. Par exemple, le lien :

<a href="http://dcalin.fr/textoff/code_action_sociale.html#146-2">Article L. 146-2</a>

appelle l’article L. 146-2 de la Partie législative du Code de l’action sociale et des familles, alors que le lien :

<a href="http://dcalin.fr/textoff/code_action_sociale_reg.html#146-2">Article R. 146-2</a>

appelle l’article R. 146-2 de la Partie réglementaire du Code de l’action sociale et des familles.

Il est possible que certaines balises ne soient pas présentes ou dysfonctionnent sur certains des textes présents sur mon site : signalez-moi ces anomalies, je les rectifierai dès que possible.

Nota bene : À partir de 2014, les pages de mon site sont passées du HTML 4.01 Strict au XHTML 1.1. Ce nouveau code exige que “name” soit remplacé par “id”. Il impose également que les références ne commencent pas par un chiffre : j’ai donc fait précéder toutes les références commençant par un chiffre par la lettre “t”. Par exemple, <a name="1.1"> devient <a id="t1.1">. Les chiffres romains sont considérés comme des lettres, les références commençant par de tels chiffres n’ont donc pas été changées. Le reste de la procédure est sans changement.

Icônes

Pour les webmestres qui souhaiteraient mettre un lien vers mon site sous forme d’icône, vous pouvez utiliser celle-ci, que je dois à l’ancien site de Claudine Ourghanlian :

Icone pour le site de Daniel Calin

Ou celle-ci, animée, reprise au site de Jacques Nimier :

Icone pour le site de Daniel Calin

Si vous en avez d’autres, je suis preneur !


Fichiers PDF

Un certain nombre de liens sur ce site vous invitent à télécharger ou visualiser des fichiers PDF. La lecture de ces fichiers exige que soit installé sur votre appareil un logiciel spécifique capable de lire ces fichiers, généralement le logiciel gratuit Adobe Reader. Si votre système n’est pas équipé, vous pouvez télécharger Adobe Reader à cette adresse (pour Windows XP). N’oubliez pas de décocher la case “Oui, installer McAfee Security Scan Plus”. Pour d’autres systèmes (autres versions de Windows, Mac OS, Linux...), choisissez ICI la version qui vous convient.

Adobe Reader est certes gratuit, mais c’est un logiciel propriétaire et il est très lourd. Il est raisonnable de lui préférer un logiciel libre, fiable et beaucoup plus léger, Sumatra PDF.

Les fichiers PDF ont l’inconvénient d’être “figés” : il est impossible de les modifier, sauf à posséder les logiciels Adobe adéquats, fort coûteux. Il est cependant possible de les convertir vers d’autres formats en utilisant des services en ligne gratuits, comme par exemple PDF to Word Converter. Les fichiers convertis sont immédiatement ouvrables dans Word. L’opération inverse, du format Word vers le format PDF, est possible également.

Pour les fichiers PDF, j’utilise également deux autres logiciels libres : PDF Creator pour convertir au format PDF tout fichier imprimable, et PDF Split and Merge pour manipuler des fichiers PDF (extraire, fusionner, régler, etc.).


Format ODT

Le format ODT est le format par défaut du traitement de texte Writer, qui fait partie des suites bureautiques LibreOffice et OpenOffice. Ces suites sont des fleurons du monde des logiciels libres. Si vous n’en disposez pas encore, suivez un de ces liens pour installer une de ces suites sur votre système, de préférence LibreOffice.


Mes outils informatiques

Même si mes ordinateurs restent sous Windows™, pour diverses raisons, bonnes (les jeux) ou mauvaises (la paresse), et non sous le système d’exploitation libre Linux, j’utilise de plus en plus des logiciels libres adaptés à Windows™ pour mes diverses tâches informatiques. Pour découvrir cet univers, explorez l’excellent site de Framasoft.

Voici les principaux outils du monde des logiciels libres, à substituer prioritairement à vos logiciels Microsoft™. Non seulement ils sont gratuits, mais ils font mieux que leurs équivalents commerciaux. Utiliser autre chose relève, au choix, du masochisme ou de l’esclavage volontaire :

  • Pour toute la bureautique, en particulier traitement de texte, tableur et présentation, abandonnez Microsoft Office™ pour LibreOffice (anciennement OpenOffice). Pour vos élèves de l’enseignement primaire, ou vos enfants, utilisez OOo4Kids, dérivée également d’OpenOffice, par l’association EducOO.org.
  • Pour naviguer plus facilement et moins fliqué, abandonnez Internet Explorer™ au profit de Firefox.
  • Pour votre courriel, abandonnez Outlook Express™ pour Thunderbird, plus sûr et plus perfectionné.

Pour toutes mes tâches de compression/décompression de fichiers, j’utilise 7-Zip File Manager, libre, fiable, léger et rapide.

Pour tester les liens de mon site, j’utilise Simple Link Checker, un add-on à FireFox. Cet outil permet de vérifier le bon fonctionnement des liens de toute page Web. Bien sûr, il ne vérifie que le fonctionnement des liens, pas ce à quoi ils mènent ! Là, votre collaboration reste indispensable : veuillez me signaler toute anomalie.

J’utilise quotidiennement de longue date Almanach, un superbe calendrier perpétuel français gratuit, développé par Jean Finka. Le site de Jean Finka a disparu, comme tous les sites hébergés par le défunt Multimania. Je mets ce logiciel à votre disposition en téléchargement sur mon site, sous forme de fichier ZIP (instructions dans le fichier “lisezmoi.txt”). On peut aussi accéder directement à cet almanach, sous une forme simplifiée, par ce site Web.


Mes outils linguistiques

Pour tous ceux qui écrivent, l’informatique, avec le traitement de texte sur ordinateur personnel, a apporté un outil extraordinaire, dont ma génération n’avait même pas rêvé dans sa jeunesse. Cet outil scripteur, plus performant que jamais, est désormais gratuit (voir LibreOffice). Depuis, le Web a multiplié les instruments au service de l’écriture, gratuits également, d’une qualité au moins équivalente à leurs meilleurs équivalents traditionnels, et d’un usage infiniment plus pratique. Voici les outils en ligne que j’utilise au quotidien et auxquels je dois une bonne part de mes “capacités” d’écriture :

  • Pour écrire, il faut d’abord un dictionnaire de langue de référence. J’utilise principalement le Trésor de la Langue Française, né à Nancy, dans MA fac. Intellectuellement, j’ai grandi à l’ombre du bâtiment qui lui était dédié, au temps lointain de la mécanographie, la préhistoire de notre informatique. Inutile de chercher, il est impossible de trouver mieux.
     
  • Il existe évidemment d’autres grands dictionnaires de référence. Hormis, probablement pour quelque temps encore, le Robert, ils sont tous accessibles en ligne gratuitement, à commencer par le Dictionnaire de l’Académie Française, dont on peut consulter confortablement le neuvième édition, actuellement en cours d’élaboration, donc encore incomplète, ainsi que l’édition complète précédente, la huitième édition. Le célébrissime Larousse est maintenant lui-même accessible en ligne, gratuitement et sans limitations.
     
  • Pour les amateurs d’histoire de notre langue, on peut également consulter en ligne les éditions précédentes du Dictionnaire de l’Académie Française, ainsi que d’autres dictionnaires d’autrefois.
     
  • Le Littré, chef d’œuvre de l’histoire de notre lexicographie, est intégralement disponible en ligne. Le site actuel, après s’être d’abord présenté comme offrant “pour la première fois” cet accès gratuit au Littré, remercie maintenant tout particulièrement François Gannaz pour son apport essentiel à ce projet, lequel avait effectivement réalisé la première mise en ligne du Littré.
     
  • Tout scripteur connaît régulièrement l’angoisse de répétitions mal venues. Par la grâce du Laboratoire CRISCO de l’Université de Caen, je ne cesse de compulser ce dictionnaire des synonymes, qui a l’élégance d’être dynamique de part en part, donc d’être une invite à parcourir notre langue en sautant de mot en mot. Un bonheur enfantin. Notez que ce dictionnaire présente également les antonymes pour chaque entrée.
     
  • La conjugaison française est désespérante de complexité et d’irrégularités, même pour des scripteurs éclairés. Plus de problèmes avec cet excellent conjugueur.
     
  • Pour naviguer entre français, anglais, italien et espagnol, j’utilise l’excellent WordReference. On trouve également des prolongements vers d’autres langues, à partir de l’anglais, dans la version anglaise originale du site. Libre de toute publicité, ce site extraordinaire semble l’œuvre d’une seule personne, Michael Kellogg. Honneur à lui ! Notez que Larousse offre maintenant un accès en ligne gratuit et illimité à tous ses dictionnaires de langue.
     
  • Le site Lexilogos donne accès à de multiples ressources, sur de multiples langues. Ce site époustouflant est l’œuvre d’une seule personne, Xavier Nègre. Honneur à lui !
     
  • Il ne suffit pas de bien écrire. Encore faut-il alimenter convenablement la pensée à laquelle on veut donner forme écrite. Le Web, globalement, est une librairie en ligne inépuisable, quoi que fort hasardeuse, dans laquelle chacun peut puiser jusqu’à plus soif. Tout scripteur a cependant d’abord besoin d’une bonne encyclopédie de référence.
     
    • L’encyclopédie libre Wikipédia aspire à jouer ce rôle. Je l’utilise souvent et j’y apporte de temps à autre de modestes contributions. Cependant, malgré les filtrages que tentent de mettre en œuvre ses animateurs, cette encyclopédie souffre de son principe même, à savoir des contributions libres et anonymes, tout un chacun pouvant à tout moment modifier directement tous ses contenus : comme tout le Web, elle est donc régulièrement polluée par des imbéciles, des fous et des fanatiques, voire par des manipulateurs intéressés. À consulter avec précaution, donc.
       
    • Les encyclopédies “papier” traditionnelles ont longtemps résisté. La dernière en course, la prestigieuse Encyclopædia Universalis, n’a annoncé l’abandon de son édition “papier” que le 13 novembre 2012. Désormais, elle n’est plus accessible qu’en ligne... sur abonnement. Depuis 2008, Larousse offre un accès en ligne gratuit et illimité à son encyclopédie, certes moins prestigieuse que l’Universalis, mais qui jouit cependant de longue date d’une grande renommée. Larousse tente une expérience originale : son encyclopédie en ligne accueille désormais des contributions, un peu comme Wikipédia, mais, d’une part, ces contributions sont signées et leur auteur en garde seul la maîtrise, et d’autre part, ces contributions sont identifiées comme telles, donc distinctes des articles de l’éditeur, dont il continue à garantir la validité.
       
    • L’Encyclopédie de L’Agora est une entreprise québécoise, de forme originale, mieux contrôlée, très ouverte sur le reste du Web (dont certaines de mes pages). Toutefois, le contenu interne est souvent pauvre et idéologiquement très... nord-américain.
       

Lettre à un aspirant Webmestre
Présentation  Un correspondant, vivement intéressé par la clarté de la mise en page des articles de mon site, m’a écrit pour me demander quel était le “fournisseur” de mon site. Cela m’a fait sourire. Voici ma réponse, qui pourra donner des idées à d’autres.

Je suis le créateur de ce site, que je programme entièrement moi-même, à l’exclusion de son forum, basé sur phpBB, et de son blog, basé sur Wordpress.

Les pages sont programmées en XHTML 1.1, mais la présentation des textes est faite en CSS3. La présentation actuelle est le résultat de longs tâtonnements : j’ai créé mon site en 1999, j’avais mis au point une première charte graphique en 2009, deux nouvelles chartes graphique ont été mises au point en 2013, l’une pour les pages de navigation et d’information, l’autre pour les pages de textes. Elles ont été très progressivement appliquées à l’ensemble des pages de mon site, de 2014 à 2018.

Voici le fichier CSS utilisé pour les pages de navigation et d’information :
http://dcalin.fr/css/modele.css

Voici le fichier CSS utilisé pour les pages de texte :
http://dcalin.fr/css/mod-txt.css

Notez que j’utilise un fichier CSS spécifique pour l’impression de ces pages de texte. Le code utilisé, entre autres, débarrasse les pages visualisées à l’écran de tous les éléments inutiles pour un imprimé : barre de navigation, informations de bas de page, enrichissements graphiques, etc. :
http://dcalin.fr/css/print-txt.css

Vous pouvez bien entendu reprendre à votre guise mes fichiers CSS pour les adapter à votre convenance.

En programmation comme pour beaucoup d’autres choses, même si on apprend surtout en faisant, on a besoin de références. Pour une initiation aux programmations HTML et CSS, qui sont des langages assez simples, j’ai beaucoup utilisé un excellent site aujourd’hui disparu, mais dont le contenu reste entièrement disponible sous la forme d’un fichier ZIP à télécharger et installer sur votre ordinateur :
http://fr.selfhtml.org/

Avec un peu de rigueur, et en vous inspirant de l’existant, le développement d’un site tel que le mien me semble techniquement très accessible. Je n’avais moi-même au départ aucune formation en informatique ni en programmation. Hormis durant la période d’appropriation, c’est beaucoup moins coûteux en temps que les non-initiés l’imaginent.

Sachez enfin que tous les navigateurs peuvent afficher le code source de toute page visitée (par une commande du menu “Affichage”) : une inépuisable source d’inspirations !


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Dernière révision : jeudi 03 octobre 2019 – 19:45:00