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Le brouillon de mémoire sur lequel je travaille et que j'ai proposé en lecture (oh oui, dites-moi oui!) avance péniblement et j'hésite entre deux énoncés de problématique :

-A quelle condition l'utilisation du corps associée aux techniques numériques va-t-elle permettre à des élèves de GS de maternelle pris en regroupement d'adaptation d'améliorer leur vocabulaire spatial (ou topologique ?)

-A quelle condition l’utilisation du corps associée à l’emploi des techniques numériques va-t-elle permettre à des élèves de grande section de maternelle au sein d'un regroupement d’adaptation d’améliorer leur vocabulaire spatial, d'acquérir les concepts relatifs à la spatialisation (espace réel et espace représenté) ?

Un ami, à la lecture de mon brouillon, dit que la première formulation est pâle par rapport au développement.
J'ai alors écrit la deuxième mais qui me semble pour le coup pompeuse et floue.

Pour ceux ou celles qui voudraient bien lire le brouillon de la partie théorique merci de laisser un message
loup.malard@laposte.net

Finalement, après avoir bien râlé, c'est passionnant l'écriture du mémoire... Mais bonjour l'angoisse !

Merci à tous et toutes

Dominique-Loup

J'ai répondu directement à Marie Loup et je vous sollicite par rapport à mes réponses

1. Ma suggestion par rapport à son titre (après avoir lu la partie théorique de son mémoire) est :
"Comment la médiation d'activités corporelles et de techniques numériques peut-elle permettre à des élèves de GS d'améliorer leur perception spatiale et donc intégrer le vocabulaire topologique"...

2. Mon étonnement : en lisant son mémoire... Je me suis aperçue des "commandes" # en fonction des centres de formation... Son mémoire est conçu en 2 parties : l'une théorique, l'autre pratique.. Dans notre académie les 2 sont liées, l'une "alimentant l'autre" ce qui me semble être cohérent et plus formateur... Et ailleurs ? Que se fait-il ?

Bon courage à tous les collègues actuellement en formation... Jeannine

Je réponds au point 2 seulement. La séparation en deux parties, l'une plus théorique et l'autre pratique, est très habituelle. Mais la condition est évidemment que la première alimente la seconde ! Mêler plus directement théorie et pratique est certes possible, mais c'est un exercice très difficile : on risque fort de se noyer dans la pratique, de perdre tout recul, toute distanciation. De toute ma carrière, je ne me souviens guère que d'un seul mémoire de bonne qualité dans lequel théorisations et mises en oeuvre s'intriquaient fortement. Tous les autres mémoires construits ainsi n'étaient guère que des comptes-rendus de pratiques, filandreux et insipides le plus souvent...

Nota : une présentation du cadre d'exercice peut précéder ces deux parties. C'est très souvent le cas depuis que les formations se font en alternance : j'y vois un signe d'une difficulté (compréhensible !) à se distancier de sa pratique...

Merci à tous les deux de vous être penché sur mon misérable cas. Ça avance tout doucettement. Sur la fin ça deviendrait passionnant au point de tout reprendre dès le début mais, trop tard !
Dominique-Loup